C’est un outil de diagnostic qui permet d’établir un bilan de santé. L’iris est unique comme les empreintes digitales.
A l’aide d’une loupe, je regarde dans vos yeux, dans vos iris et je vous pose des questions pour comprendre ce que je vois pour me permettre une meilleure analyse de votre terrain.

Notre corps c’est notre terrain et comme une plante, il faut respecter son terrain. C’est pourquoi en naturopathie, l’essentiel est le nettoyage du terrain, au même titre qu’un jardinier ne ferait rien pousser sur un sol endommagé, pris par les mauvaises herbes sans le nettoyer complètement avant d’y replanter des graines et de prendre soin de ses plants…apporter de bons nutriments, une bonne énergie.
Cette analyse permet :
- l’observation de la tonicité nerveuse des organes et tissus. Les forces et les faiblesses de l’organisme.
- de mettre en avant les tendances pathologiques avant même que les symptômes n’apparaissent.
- de voir les éventuelles intoxications, toxémie (en fonction du type de toxines), ou inflammations, le niveau de vitalité de la personne, les prédispositions génétiques (héréditaires) ; les traumatismes du corps, physique ou émotionnel.
Un peu d’histoire
Pour faire court, des traces de l’observation des iris dans les pratiques de santé se retrouvent sur des vestiges datants de 2400 av JC. Le fondement de l’iridologie est attribué au docteur hongrois Ignatz Von Peczely au 19ème siècle. Ensuite, elle fut reprise notamment par Léon Vannier, médecin homéopathe au début du 20ème siècle. Puis différents courants apparurent, notamment aux États-Unis avec les écrits de Bernard Jensen dans les années 60. Ce dernier introduit une cartographie organique plus précise qui donnera naissance à différentes écoles d’interprétation des signes iriens.